by Pierre-Luc | Fév 12, 2025 | Actualité, Economie, Fiscalité, Immigration
Bienvenue en Absurdistan, anciennement connu sous le nom de France. Un pays autrefois glorieux, où l’on construisait des cathédrales et des TGV, réduit aujourd’hui à distribuer des allocations à tout-va et à planter des éoliennes aussi inutiles que coûteuses. Accrochez-vous, ça va secouer.
Des allocations pour tout le monde (et même pour ceux qui ne cotisent pas)
Pourquoi travailler quand on peut vivre confortablement des largesses de l’État ? En France, on aime tellement la redistribution qu’on la pratique même au-delà de nos moyens. RSA, APL, allocations familiales, primes diverses et variées… il y a de l’argent magique pour tout le monde ! À tel point que le travail n’est plus une nécessité mais une option. Certains secteurs peinent à recruter ? Normal, il est parfois plus rentable de rester chez soi que de se lever le matin. Mais chut, il ne faut pas le dire.
Dépenser sans compter : l’éolienne, ce totem de la bêtise moderne
On nous vend la transition énergétique comme une nécessité absolue. Très bien, sauf qu’en France, on remplace un nucléaire performant par des éoliennes hors de prix et peu fiables. C’est beau sur le papier, sauf que quand il n’y a pas de vent, il n’y a pas d’électricité. Résultat ? On doit rallumer nos centrales à charbon. Vous avez dit écologie ? Non, c’est juste un gigantesque transfert d’argent public vers des industriels bien placés. Mais continuez d’éteindre votre Wi-Fi la nuit, c’est sûr, ça va tout changer.
Ouvrir grand les portes et pleurer sur la misère du monde
Autre grande passion française : se donner bonne conscience en accueillant toujours plus de misère. La France, ce pays où on est persuadé que plus on est pauvre, plus on est vertueux. Logements, soins médicaux, aides sociales : tout est offert sur un plateau, financé par ceux qui travaillent encore (les rares qui n’ont pas fui à l’étranger). Mais attention, oser poser la question du coût ou de l’intégration, c’est risquer de se faire traiter de tous les noms. Alors on laisse faire, et on s’étonne ensuite de la montée des tensions.
Travailler moins, produire moins, mais s’étonner du déclin
Autre problème de taille : la productivité française s’effondre. Moins d’heures travaillées, plus de grèves, une bureaucratie infernale et une fiscalité punitive… et on s’étonne que nos entreprises délocalisent ? Le bon sens voudrait qu’on encourage l’effort et l’innovation, mais non, ici on préfère taxer ceux qui réussissent pour subventionner ceux qui ne font rien. Après tout, pourquoi se fatiguer quand on peut ponctionner toujours plus ?
Endettement à tout va : le Titanic continue de foncer vers l’iceberg
Tout cela a un prix. Et comme on refuse de faire des économies, on emprunte. Toujours plus, toujours plus cher. 3 000 milliards d’euros de dette publique ? Une broutille, paraît-il. Et pour boucher les trous, on brade nos fleurons industriels. Alstom, Technip, Lafarge, Latécoère… la liste est longue. Peu importe, tant que le cirque continue, personne ne se pose de questions.
La France, ce pays qui s’auto-saborde
Nous avons un État obèse, une économie asphyxiée, une population qui se divise entre ceux qui paient et ceux qui profitent, et une classe politique plus occupée à sauver sa réélection qu’à redresser la barre. Tout va bien, dormez tranquilles, l’orchestre joue encore pendant que le navire coule. Mais rassurez-vous, au moins, on pourra toujours compter sur des subventions pour acheter des violons.
En route vers l’inévitable ?
Alors, que faire ? Continuer à observer passivement la débâcle ou oser réformer en profondeur ? L’avenir nous dira si la France choisit de se réveiller ou de poursuivre sa descente inexorable, drapée dans son arrogance et son aveuglement. Mais une chose est sûre : à force d’étouffer les forces vives du pays, il ne restera bientôt plus que des ruines à contempler. À moins d’un miracle… ou d’un sursaut.
by Pierre-Luc | Fév 2, 2025 | Actualité, Immigration, Politique, Securité
« Une nation n’a pas d’autre choix que de contrôler ses frontières si elle veut rester une nation. »
— Margaret Thatcher
Lorsqu’il est question d’immigration, le débat public se focalise souvent sur le droit des migrants à rester dans un pays d’accueil une fois arrivés. Or, une question préalable demeure largement occultée : ont-ils le droit de venir en premier lieu ?
Un droit universel à migrer ?
D’un point de vue philosophique et moral, certains considèrent que la liberté de circulation est un droit fondamental. L’article 13 de la Déclaration universelle des droits de l’homme stipule que « toute personne a le droit de quitter tout pays, y compris le sien ». Cependant, ce texte ne mentionne pas le droit d’entrer dans un autre pays sans conditions. Ainsi, si le droit de quitter un territoire est reconnu, celui d’y entrer repose sur la souveraineté des États.
La souveraineté des États et le contrôle des frontières
Chaque État a la compétence de décider qui peut entrer sur son territoire. Ce principe, ancré dans le droit international, est une expression de la souveraineté nationale. Les accords bilatéraux et les traités internationaux peuvent en moduler l’application, comme dans l’espace Schengen où les frontières internes sont ouvertes entre certains pays européens.
Toutefois, des conventions internationales imposent certaines obligations. Par exemple, la Convention de Genève de 1951 sur les réfugiés oblige les signataires à accorder l’asile aux personnes persécutées. Ce droit d’asile ne signifie pas pour autant un droit général à l’immigration, mais une protection spécifique accordée sous certaines conditions.
L’équilibre entre humanité et régulation
La tension entre humanité et régulation est au cœur du débat. D’un côté, les droits de l’homme et la solidarité plaident en faveur d’une ouverture, notamment pour les réfugiés fuyant les conflits ou les persécutions. De l’autre, la nécessité de contrôler les flux migratoires pour préserver la cohésion sociale et éviter une pression excessive sur les services publics incite à poser des limites.
La France, comme d’autres pays européens, a mis en place des dispositifs de visas, de quotas d’immigration et de contrôles aux frontières. Le droit d’entrer sur le territoire français n’est pas automatique ; il est soumis à des critères stricts. Pourtant, l’absence de visas pour certains pays et la difficulté à reconduire les clandestins dans leur pays d’origine rendent le contrôle des flux migratoires complexe.
Un droit conditionnel et non constitutionnel
Si les migrants peuvent avoir le droit de quitter leur pays, leur entrée dans un autre territoire reste soumise à des règles définies par les États. Loin d’être un droit universel, l’immigration est un équilibre entre le respect des droits humains et la souveraineté nationale. Le débat mérite donc d’être recentré sur cette question fondamentale : qui décide des conditions d’entrée, et selon quels principes ?
by Pierre-Luc | Jan 2, 2025 | Non classé
Qu’ont-ils fait pour vous ?
- Ils ont interdit de nettoyer les cours d’eau : Conclusion, des inondations à répétition.
- Ils ont interdit le nettoyage des pares-feux dans les Landes : Conclusion, des milliers d’hectares de forêt brulés.
- Ils ont interdit la modernisation de l’agricultures ; conclusion, il n’y a plus d’agriculteurs
- Ils ont combattu les centrales nucléaires, l’Energie la moins chère et la moins polluante : conclusion, la crise de l’Energie. Heureusement certaines âmes se sont réveillées, même en Allemagne.
- Ils nous imposent leurs éoliennes couteuses et non rentables qui pollue notre paysage. Pour couvrir les besoins de la France, il faudrait couvrir 2,5 fois notre surface, et encore.
- Maintenant, ils veulent envahir nos mers. C’est écologique çà ?
- Ils veulent nous imposer leurs voitures électriques qui si elles ne rejettent pas de gaz polluent encore plus par les déchets nocifs et ‘exploitation à outrance des sous-sols.
- Ils assassinent l’industrie automobile qui représente 20% de l’activité économique en Europe en livrant notre industrie aux Chinois.
- Ils ont déjà assassiné notre agriculture qui elle aussi représentait aussi 20% de l’activité économique. Sur ces 2 postes, c’est 40% de notre activité économique qu’ils ont tué.
Et ça n’est pas fini !
Que Vous ont-ils apporté ?
- Est-ce que vous vivez mieux ?
- Est-ce que vous êtes plus riches ?
Les Ecolos, qui sont-ils ?
Des déçus de la vie, des recalés du bonheur, qui veulent pourrir votre vie parce que la leur est pourrie. Souvent des personnes qui ne savent pas ce que travailler, produire veut dire. Ils n’ont rien fait de leur vie, ils ne savent pas ce que construire quelque chose veut dire. Ils ne savent que détruire.
Leurs grandes causes ?
Croire à l’implication de l’activité humaine dans le déréglément climatique, c’est comme croire en Dieu : on ne sait pas s’il existe mais on n’a jamais pu démontrer le contraire. C’est une religion avec ses croyants, les climato-sectaires, et ses hérétiques, les climatosceptiques.
Avec une lutte à armes inégales. Dans les grands médias, les journalistes ont interdiction d’enquêter sur ce sujet. Quant au GIEC, ce ne sont pas de scientifiques, juste des fonctionnaires chargés de faire des statistiques. Depuis 50 ans, le GIEC et ses prédécesseurs, n’ont jamais fait une seule prévision exacte. Ils avaient prévu l’épuisement des réserves de pétrole pour l’an 2000, les réserves actuelles sont supérieures à celles de 1973. Etc.
Le CO2. La lutte contre cette idéologie nous coute des fortunes, Env. 40 milliards pour le budget de l’Etat français, sans compter ce que dépensent les entreprises. Quand on sait que dans l’atmosphère l’activité humaine ne représente que 3 à 5% du CO2 global. La France est même négative. Si ont cesser toute activité humaine, ça ne se remarquerait même pas ;
Quant à la biodiversité, l’humanité ne représente que 2% de la masse mondiale, 50% de cette biosphère étant constituée par les insectes. Les Humains ne sont pas coupables de la disparition des dinosaures, ils n’existaient pas encore. Des espèces disparaissent tous les jours, bien sûr, mais on en découvre de nouvelles tous les ans.
En revanche, qu’ont fait les Ecolos pour nous ?
On nous parle depuis plus 50 ans d’un 6 -ème continent de plastique dans les océans, qu’ont ins fait ? Rien ! Pourtant il existe des solutions. Notamment la consigne des bouteilles plastiques, plus de 10 milliards par an en France. Sans compter les nombreux brevets déposés pour le recyclage des bouteilles à la mer.
Et les ordures ménagères. On essaye de culpabiliser les consommateurs, comme s’ils étaient les coupables de ces déchets. Est-ce le consommateur qui est responsable des emballages ? Est-ce qu’on n’a le choix de l’emballage ? Ce sont les industriels qui les conçoivent. Ne vous trompez pas de combat !
Et les SIVOM ? Syndicats Intercommunaux de Valorisation des Ordures Ménagères. On a oublié depuis longtemps le mot VALORISATION. On se contente de bruler alors qu’on gaspille des matières premières. Et on s’en fout, les contribuables payent. Alors pourquoi chercher d’autres solutions.
Les écolos sont la cause de plus de 80% de nos soucis.
En plus de tous les point qu’on vient de soulever. On ne peut plus manger ce que l’on veut, ce n’est pas écolo. On ne peut pas s’habiller comme on veut, ce n’est pas écolo. On ne peut pas rouler vite, ce n’est pas écolo. On ne peut pas prendre l’avion, ce n’est pas écolo. On ne peut pas faire de barbecue, ce n’est pas écolo. Pas de sapins, un arbre mort Beurk, ce n’est pas écolo.
Cultivez-vous. Renseignez-vous
Lise dons les ouvrages de Christian Gerondeau, Henri Proglio (ancien patron d’EDF), Daniel Husson, Le Roy Ladurie, François Gervais. Et beaucoup d’autres. Ouvrages disponibles chez tous bons libraires et à la FNAC ou Amazon.
Et Bonne Année – les écolos veillent sur vous
by Pierre-Luc | Nov 8, 2024 | Economie, Politique, Territoires
La réforme de l’administration territoriale en France est un thème à la fois complexe et souvent débattu. Voici une analyse organisée ainsi que des suggestions en lien avec notre objectif.
Constat des problèmes actuels
Niveaux hiérarchiques trop complexes et mal placés :
- L’organisation administrative comporte de multiples niveaux (communes, intercommunalités, départements, régions, État) qui créent de la redondance et des chevauchements de compétences.
- Cette multiplicité de structures et d’échelons entraîne une dilution des responsabilités, un excès de chefs sans véritables responsables, et des décisions qui paraissent éloignées des citoyens.
Éloignement des Administrations des citoyens :
- Les citoyens se retrouvent souvent loin de leur interlocuteur administratif, ce qui nuit à l’efficacité des services publics. Les préfectures de région, par exemple, sont parfois trop distantes des administrés.
Flambée des coûts et manque d’efficacité :
- Les réformes récentes, notamment celle des régions sous François Hollande, ont augmenté les coûts sans gain clair d’efficacité. De plus, la réforme de Hollande a engendré des déséquilibres régionaux.
Références Historiques : Enseignements et Inspiration
Réforme de 1793 (période révolutionnaire) :
- L’organisation territoriale était pensée selon la proximité géographique, sans les technologies modernes. La rapidité d’exécution montre la possibilité d’une transformation profonde en peu de temps.
Réforme des régions par le Général de Gaulle en 1963 :
- Les régions créées par de Gaulle s’inspiraient des anciennes provinces, en tenant compte des identités locales et des réalités culturelles et géographiques.
Réforme des régions de 2015 :
- Les nouvelles régions, conçues sans cohérence historique ou géographique, ont eu pour effet d’accentuer les disparités économiques et culturelles, tout en augmentant les coûts administratifs.
Proposition de réforme Administrative
1. Simplification des échelons administratifs :
- Réduction du Nombre de Communes : Fusionner des communes en se basant sur les anciens cantons pour créer des entités plus cohérentes et économiquement viables, tout en valorisant les chefs-lieux de canton comme centres administratifs locaux.
- Suppression des Départements : Envisager la suppression des départements pour recentrer les compétences et les moyens sur des régions rééquilibrées.
2. Rétablissement des régions « Gaulliennes » (ou Provinces modernisées) :
- Revenir à une carte régionale plus cohérente, inspirée des anciennes provinces, mais adaptée aux réalités actuelles. Le nombre de régions pourrait être réduit à environ huit, avec une répartition équilibrée pour éviter les disparités économiques et culturelles.
- Renommer ces régions « Provinces » pour souligner l’ancrage historique et le respect des identités locales.
3. Renforcement des Arrondissements et Sous-Préfectures :
- Faire des arrondissements le centre de l’administration de proximité, en dotant chaque sous-préfecture des services publics essentiels. Ainsi, les citoyens pourraient effectuer leurs démarches administratives sans avoir à se rendre dans des préfectures de région parfois éloignées.
- Les préfectures de région conserveraient des fonctions administratives centrales et stratégiques, mais sans se substituer aux services de proximité.
4. Réorganisation des Services pour un accès décentralisé :
- Présence des Administrations : Assurer que chaque arrondissement dispose de toutes les administrations principales, offrant ainsi un service de proximité. Cela impliquerait que les citoyens n’aient pas à parcourir des centaines de kilomètres pour accéder à des services publics essentiels.
- Centralisation limitée aux tâches stratégiques : Les fonctions purement administratives, de coordination, et les services nécessitant une vue d’ensemble régionale seraient placés aux préfectures de région.
5. Modernisation et efficacité de l’Administration :
- Réduction des Coûts et suppression des doublons : En allégeant les structures administratives et en supprimant les doublons, cette réforme vise une réduction des coûts de fonctionnement.
- Responsabilisation et clarté des compétences : Attribuer des responsabilités claires à chaque échelon (communes renforcées, arrondissements, régions/provinces) pour une meilleure lisibilité des compétences et des responsabilités. Cela pourrait inclure la création d’indicateurs de performance pour chaque administration locale.
Une reforme indispensable
Cette réforme aurait pour ambition de simplifier l’administration territoriale, de réduire les coûts et d’améliorer l’efficacité des services publics. Elle rapprocherait les administrations des citoyens en réorganisant les échelons hiérarchiques de manière à offrir des services de proximité tout en préservant une structure régionale cohérente.
Ce modèle de « provinces modernisées » permettrait un équilibre entre ancrage historique et adaptation aux besoins modernes.
by Pierre-Luc | Nov 4, 2024 | Actualité, Politique
Ah, l’idiotie moderne ! Nous vivons dans un monde où les idiots ont pris le pouvoir et pensent que les autres sont… encore plus idiots qu’eux ! Comment diable en sommes-nous arrivés là ? Par un mélange d’aveuglement, de bêtise institutionnelle, et de décisions que même le plus farfelu des bureaucrates trouverait osées. Bref, bienvenue dans le règne des idiots – où le commun des mortels est étouffé sous des réglementations insensées pour le maintenir dans un cocon d’idiotie bien douillet.
L’École : Une Garderie à Idiots
La première étape pour garantir que tout le monde reste bien bête, c’est bien sûr l’école. Au lieu de former des esprits brillants capables de réflexion critique, nos dirigeants ont transformé l’école en… garderie à idiots. Autrefois, on y apprenait les bases – lire, écrire, compter, penser. Aujourd’hui, on apprend à colorier dans les cases sans jamais dépasser, à réciter des règles sans se poser de questions, et à applaudir dès qu’on réussit un exercice sans difficulté.
De là à dire qu’on nivelle par le bas, il n’y a qu’un pas. Les élèves sont applaudis pour le moindre effort, et les exigences sont abaissées pour que personne ne se sente « exclu ». Et surtout, il ne faut pas trop les pousser – imaginez qu’ils deviennent intelligents et commencent à questionner l’ordre établi ? Catastrophe ! Nos chers idiots dirigeants préfèrent un peuple tranquille et malléable, bercé d’illusions et de notes d’encouragement.
L’Assemblée Nationale : De l’Académie Française à la Cour des Miracles
Il y a 50 ans, l’Assemblée nationale était une sorte d’annexe de l’Académie Française. Il y avait des débats enflammés, on y citait les grands auteurs, on y discute de philosophie et d’idées – bref, c’était un endroit où les mots avaient du poids et où les idées prenaient vie. C’était du sérieux. Les hommes politiques de l’époque lisaient les grands classiques, rédigeaient des essais de fond et croyaient en leur mission.
Mais aujourd’hui, bienvenue dans l’annexe de la cour des miracles. Désormais, les députés n’ont pas le temps pour les grands discours, ils sont trop occupés à écrire des livres… mais pas des essais philosophiques, non. Plutôt des autobiographies ou des mémoires où la profondeur rivalise avec la littérature de gare. Entre deux débats où les noms d’oiseaux volent plus vite que les idées, ils enchaînent les tweets comme des ados influencés par la télé-réalité.
Autrefois, les politiques défendaient des idéaux ; aujourd’hui, ils défendent leur image sur Instagram. Et quand ils se décident à écrire, ce n’est pas pour nous éclairer sur leur vision du monde, mais pour nous vendre des pamphlets dignes des plus grands scandales littéraires – quand ce ne sont pas, carrément, des romans vaguement érotiques. Charmant, non ? Entre la République des Lumières et la République des « likes », on a clairement perdu au change.
Un Monde Contaminé par la Bêtise
Le plus triste, c’est que cette idiotie n’a pas de frontières. Non, la France n’a pas le monopole des dirigeants idiots ; l’Europe entière, et même le monde, sont touchés. Nos chers voisins suivent la même voie avec enthousiasme. Du haut de leur piédestal, ces idiots gouvernent comme si la population était incapable de penser par elle-même. « Comment voulez-vous qu’ils sachent ce qui est bon pour eux ? », se disent-ils, tout en pondant des lois de plus en plus incompréhensibles et des réglementations plus absurdes les unes que les autres.
Regardons du côté de l’Europe, cette belle union des nations. Ce qui avait commencé comme un projet de paix et de coopération est aujourd’hui devenu le théâtre de la bureaucratie sans limite. Les députés européens votent des lois sur le calibrage des concombres, des réglementations sur la forme des tomates, et des résolutions pour obliger les entreprises à publier des rapports sur leur empreinte carbone même si elles vendent des crayons. Les dirigeants ne se parlent même plus en humain ; ils se parlent en technocrates. Et nous, les simples mortels, regardons cela avec des yeux ronds, entre deux éclats de rire désabusé.
Et Maintenant, Quoi ? Une Solution à l’Idiotie ?
La question, chers lecteurs, c’est de savoir si nous, pauvres observateurs lucides, allons faire quelque chose pour inverser la tendance. Le problème avec les idiots, c’est qu’ils ne se rendent pas compte de leur propre idiotie – et ils comptent bien la perpétuer ! Pour eux, le monde va bien tant que tout le monde se plie à leurs absurdes normes.
Peut-être faudrait-il envoyer nos dirigeants faire un stage d’humilité, ou leur rappeler que diriger, c’est aussi écouter. Mais soyons honnêtes, le jour où l’idiotie gouvernante se rendra compte de sa propre idiotie, nous aurons fait un grand pas en avant. En attendant, il ne nous reste plus qu’à sourire face à cette grande comédie, à espérer qu’un jour, la lumière des esprits critiques éclairera à nouveau nos institutions.
Alors, en attendant la fin de ce règne d’idiotie, cultivons notre sens de l’humour et notre esprit critique. Car la vraie intelligence, c’est peut-être simplement de voir la bêtise en face, de ne pas la prendre trop au sérieux… et de continuer à en rire.