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La France, pays des droits de l’homme sous la dictature des juges gauchistes

La France s’enorgueillit d’être le pays des droits de l’homme, berceau des libertés et de la justice. Pourtant, ces dernières années, une inquiétante dérive judiciaire met en péril ce socle républicain. Une frange militante de la magistrature semble s’être arrogé le pouvoir d’orienter la vie politique en éliminant systématiquement les figures de droite, tout en adoptant une tolérance coupable envers les exactions de l’extrême gauche. Ce phénomène, qui s’apparente à une véritable dictature judiciaire, remet en question l’équilibre démocratique du pays.

L’élimination politique des figures de droite : un schéma systématique

L’élection présidentielle de 2017 a été marquée par un coup de tonnerre judiciaire : François Fillon, alors favori, a été mis en examen en un temps record, anéantissant ainsi ses chances de victoire. L’affaire, montée en épingle par une presse bien-pensante, a illustré la capacité d’une magistrature politisée à peser directement sur le choix des électeurs. Le candidat de droite n’a jamais eu le temps ni les moyens de se défendre face à un rouleau compresseur médiatico-judiciaire.

Plus récemment, c’est Nicolas Sarkozy qui a été la cible d’un acharnement sans précédent. Treize années d’enquête, un réquisitoire ubuesque, aucune preuve tangible : et pourtant, l’ancien président est condamné à la prison ferme. Comment expliquer cet acharnement contre une seule famille politique ? La réponse tient dans l’idéologie qui gangrène certaines sphères de la magistrature, où l’objectivité a cédé la place à un militantisme anti-droite forcené.

Aujourd’hui, la machine s’emballe de nouveau. La candidate préférée des Français de droite est, elle aussi, sous le feu des juges. Après Fillon, après Sarkozy, voici qu’une nouvelle personnalité subit un véritable assassinat politique orchestré par des magistrats qui ne cachent plus leur orientation partisane. Le scénario est désormais bien rodé : mise en examen avant toute élection, orchestration médiatique, et finalement une élimination du paysage électoral par la seule force judiciaire.

La censure de la presse libre : un musellement assumé

La justice n’agit pas seule. Elle s’appuie sur des institutions de contrôle qui, sous couvert de régulation, participent à l’étranglement des voix discordantes. L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (ARCOM) s’est récemment illustrée par une offensive contre la presse non conformiste, allant jusqu’à la fermeture d’une chaîne de télévision. Ce précédent marque une rupture : en France, il est désormais possible de faire taire une opinion sous des motifs fallacieux.

La liberté d’expression, pierre angulaire de la démocratie, est ainsi battue en brèche. Le pluralisme médiatique est menacé par une instance qui prétend défendre la neutralité mais qui, dans les faits, applique une censure ciblée contre les médias qui osent remettre en cause la bien-pensance dominante.

L’indulgence coupable envers l’extrême gauche et les criminels

Si la droite est impitoyablement traquée, l’extrême gauche bénéficie d’une mansuétude révoltante. La France insoumise (LFI) multiplie les débordements, attise les tensions sociales, soutient des groupuscules violents sans jamais être inquiétée. Les élus qui appellent à la désobéissance civile, qui justifient des émeutes ou qui remettent en cause les institutions républicaines, jouissent d’une impunité totale. Pourquoi cette clémence ? Parce qu’ils sont du bon côté de l’échiquier idéologique.

Pire encore, cette indulgence s’étend à des criminels d’une tout autre nature. Récemment, plusieurs affaires ont révélé un laxisme insupportable envers les auteurs d’actes innommables, notamment envers ceux qui s’en prennent aux enfants. Là où la justice se montre d’une sévérité implacable contre les responsables politiques de droite, elle fait preuve d’une étonnante clémence pour des actes autrement plus graves.

Un détournement des institutions au service d’une idéologie

Ce tableau alarmant pose une question fondamentale : la justice française est-elle encore un pouvoir indépendant ou est-elle devenue un instrument au service d’une cause politique ? Le constat est inquiétant : l’État de droit est dévoyé par des magistrats qui, au lieu d’appliquer la loi avec impartialité, s’emploient à réprimer toute opposition à l’idéologie dominante.

Dans ces conditions, comment redonner confiance aux citoyens ? Comment garantir que les prochaines élections se dérouleront sans interférences ? Il est urgent de réformer en profondeur un système judiciaire qui ne devrait jamais être un acteur politique.

La France ne peut pas rester passive face à cette dérive. Si elle veut préserver son statut de pays des droits de l’homme, elle doit rétablir un véritable équilibre institutionnel, garant d’une démocratie saine et équitable. La justice doit retrouver son rôle premier : juger, et non gouverner.

Pour conclure

Le constat est sans appel : en France, il vaut mieux être délinquant qu’homme politique de droite. Tandis que la magistrature traque avec une rigueur extrême ceux qui osent défendre des idées conservatrices, elle laisse prospérer impunément des comportements répréhensibles et des idéologies destructrices. Cette situation est intenable et menace directement l’avenir démocratique du pays.

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