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La France en pleine dégringolade : chronique d’un naufrage annoncé

Bienvenue en Absurdistan, anciennement connu sous le nom de France. Un pays autrefois glorieux, où l’on construisait des cathédrales et des TGV, réduit aujourd’hui à distribuer des allocations à tout-va et à planter des éoliennes aussi inutiles que coûteuses. Accrochez-vous, ça va secouer.

Des allocations pour tout le monde (et même pour ceux qui ne cotisent pas)

Pourquoi travailler quand on peut vivre confortablement des largesses de l’État ? En France, on aime tellement la redistribution qu’on la pratique même au-delà de nos moyens. RSA, APL, allocations familiales, primes diverses et variées… il y a de l’argent magique pour tout le monde ! À tel point que le travail n’est plus une nécessité mais une option. Certains secteurs peinent à recruter ? Normal, il est parfois plus rentable de rester chez soi que de se lever le matin. Mais chut, il ne faut pas le dire.

Dépenser sans compter : l’éolienne, ce totem de la bêtise moderne

On nous vend la transition énergétique comme une nécessité absolue. Très bien, sauf qu’en France, on remplace un nucléaire performant par des éoliennes hors de prix et peu fiables. C’est beau sur le papier, sauf que quand il n’y a pas de vent, il n’y a pas d’électricité. Résultat ? On doit rallumer nos centrales à charbon. Vous avez dit écologie ? Non, c’est juste un gigantesque transfert d’argent public vers des industriels bien placés. Mais continuez d’éteindre votre Wi-Fi la nuit, c’est sûr, ça va tout changer.

Ouvrir grand les portes et pleurer sur la misère du monde

Autre grande passion française : se donner bonne conscience en accueillant toujours plus de misère. La France, ce pays où on est persuadé que plus on est pauvre, plus on est vertueux. Logements, soins médicaux, aides sociales : tout est offert sur un plateau, financé par ceux qui travaillent encore (les rares qui n’ont pas fui à l’étranger). Mais attention, oser poser la question du coût ou de l’intégration, c’est risquer de se faire traiter de tous les noms. Alors on laisse faire, et on s’étonne ensuite de la montée des tensions.

Travailler moins, produire moins, mais s’étonner du déclin

Autre problème de taille : la productivité française s’effondre. Moins d’heures travaillées, plus de grèves, une bureaucratie infernale et une fiscalité punitive… et on s’étonne que nos entreprises délocalisent ? Le bon sens voudrait qu’on encourage l’effort et l’innovation, mais non, ici on préfère taxer ceux qui réussissent pour subventionner ceux qui ne font rien. Après tout, pourquoi se fatiguer quand on peut ponctionner toujours plus ?

Endettement à tout va : le Titanic continue de foncer vers l’iceberg

Tout cela a un prix. Et comme on refuse de faire des économies, on emprunte. Toujours plus, toujours plus cher. 3 000 milliards d’euros de dette publique ? Une broutille, paraît-il. Et pour boucher les trous, on brade nos fleurons industriels. Alstom, Technip, Lafarge, Latécoère… la liste est longue. Peu importe, tant que le cirque continue, personne ne se pose de questions.

La France, ce pays qui s’auto-saborde

Nous avons un État obèse, une économie asphyxiée, une population qui se divise entre ceux qui paient et ceux qui profitent, et une classe politique plus occupée à sauver sa réélection qu’à redresser la barre. Tout va bien, dormez tranquilles, l’orchestre joue encore pendant que le navire coule. Mais rassurez-vous, au moins, on pourra toujours compter sur des subventions pour acheter des violons.

En route vers l’inévitable ?

Alors, que faire ? Continuer à observer passivement la débâcle ou oser réformer en profondeur ? L’avenir nous dira si la France choisit de se réveiller ou de poursuivre sa descente inexorable, drapée dans son arrogance et son aveuglement. Mais une chose est sûre : à force d’étouffer les forces vives du pays, il ne restera bientôt plus que des ruines à contempler. À moins d’un miracle… ou d’un sursaut.

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