OSER réformer les RETRAITES
Pourquoi lire ce livre ?
- Un diagnostic clair : Comprenez les déséquilibres structurels du système actuel et leurs conséquences sur les finances publiques.
- Des propositions concrètes : Une réforme audacieuse et équilibrée qui combine équité, efficacité et transparence.
- Un appel à l’action : Ce livre ouvre le débat sur l’avenir des retraites et propose des solutions qui méritent d’être discutées par les citoyens, les syndicats et les décideurs politiques.
En résumé : « Il est temps de cesser de colmater les brèches d’un système en crise. La réforme des retraites n’est pas une option : c’est une nécessité pour les générations futures. »

12,90 €

Le rendement des retraites par capitalisation : une solution durable
- Le livre souligne que les retraites par capitalisation offrent un rendement largement supérieur à celui des régimes par répartition. Avec un rendement moyen réaliste de 6% annuel pour les placements en capitalisation, ce système peut compléter efficacement les pensions issues du tronc commun par répartition.
- Sans dépasser les 28% de cotisations actuellement versées (Salariés + Entreprises)
- Exemple : Un cotisant épargnant 10% de son salaire durant 40 ans pourrait se constituer un capital significatif, capable de générer des revenus complémentaires sans peser sur les finances publiques.
- Les fonds de pensions représenteraient 140 milliards d’euro injectés tous les ans dans l’économie. Soit 40% des besoins de financement des entreprises.
Mais où est donc passé le Fonds de Réserve pour les Retraites (FRR)
- Le FRR, initialement créé par Lionel Jospin, pour anticiper les déséquilibres démographiques à partir de 2020, a été détourné pour combler des déficits de l’Etat, à court terme. Cette gestion a privé la France d’un levier financier essentiel pour réformer durablement le système.
- Proposition : Redéfinir le rôle du FRR comme un instrument de stabilisation à long terme, exclusivement consacré à l’investissement dans les régimes de retraite.
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Transparence budgétaire : distinguer cotisations et subventions
- L’ouvrage dénonce l’opacité des présentations budgétaires, qui mélangent les cotisations normales des fonctionnaires avec les subventions d’équilibre pour compenser les déficits des régimes publics (SNCF, RATP, etc.).
- Chiffres-clés : Ces subventions représentent plus de 6 milliards d’euros par an, rendant difficile une comparaison équitable avec le secteur privé.
- Proposition : Présenter clairement, dans le budget de la nation, la distinction entre les cotisations et les subventions d’équilibre afin de favoriser un débat public mieux informé.
Une réforme ambitieuse et structurée : « Une architecture à 3 niveaux »
L’auteur propose une réforme basée sur une « architecture à 3 niveaux » coordonnée par un Organisme unique : l’UNIRC – (Union des Retraites et de la Capitalisation)
Niveau 1 : Tronc commun
- Un Organisme unique
- La mise en place de comptes notionnels personnels
- Un système par répartition universel et équilibré, avec un taux de cotisation de 15%.
Niveau 2 : Capitalisation
- Obligatoire : 10% des revenus pour constituer un capital individuel.
- Volontaire : Possibilité de dépasser ce seuil pour ceux qui souhaitent augmenter leur future pension.
Niveau 3 : Solidarité
- Un fonds spécifique de 3% des cotisations pour financer des mécanismes de solidarité (minimum vieillesse, régimes spéciaux en transition, etc.).
Résultats à moyen terme
- Un seul organisme pour gérer tous les régimes. (Plus d’usine à gaz)
- Un seul système de gestion : les comptes notionnels
- Un euro cotisé = Un euro de droit
- Equilibre des retraites
- Plus d’âge légal de départ