L’écologie ne peut survivre que grâce à des subventions.
En elle-même, l’écologie sectaire n’est pas rentable, elle ne rapporte pas d’argent et n’est pas une évolution naturelle de la civilisation. Elle ne survit qu’au travers de dictats contre nature. De plus elle mélange les torchons et les serviettes pour brouiller les pistes. L’Energie, l’alimentation, l’éducation des enfants, le féminisme, etc. tout est bon. Et ils s’appuient pour cela sur des lobbys et les médias.
Sur des lobbys qui les financent pour mieux enrichir ceux qui les supportent. En retour les écolos imposent aux citoyens des normes qui les réduisent à merci, une forme moderne d’esclavagisme. Mais comme il faut bien que ça rapporte, les écolos ont inventer toutes sortes de subventions. Leur idées n’étant pas directement rentables. Alors, ils se financent par ces subventions. C’est à la fois du Racket et du détournement de fonds.
Regardez dans l’alimentation le coût du bio, la faible productivité des terres, etc. il faut bien trouver de l’argent, alors on subventionne tout et n’importe quoi. Et cet argent provient d’où ? de la poche des contribuables. C’est ce qu’on pourrait appeler du recyclage. Je prends dans la poche droite ce que je te donne dans la main pour que tu le remette dans ta poche droite. Parce que c’est toujours le contribuable qui paye, donc Nous, vous et moi.
L’écologie, un racket plus rentable que la drogue et sans risque
Les décisions écologiques prises par l’État entraînent un certain nombre de subventions qui visent à promouvoir et à soutenir les initiatives favorables à l’environnement. Ces subventions peuvent prendre différentes formes et être accordées à divers secteurs de l’économie. Voici un aperçu des principales subventions écologiques versées par l’État.
Tout un monde c’est créé pour capter ces sommes faramineuses. Détournement de fonds sans aucun risque avec la bénédiction des Gouvernements. Plus besoin d’être un truand pour faire fortune, juste besoin de savoir naviguer dans le fatras de règlementations. Et SANS risques.
Création d’écosystèmes pour rafler la mise de ces subventions.
Les écosystèmes qui se sont développés pour profiter des subventions écologiques sont variés et reflètent la diversité des secteurs soutenus par ces mesures incitatives. Les subventions gouvernementales ont créé un environnement propice à l’émergence d’entreprises, d’organisations et de projets axés sur la durabilité environnementale. Voici quelques exemples des écosystèmes qui ont prospéré grâce à ces subventions.
1. Énergies renouvelables :
L’État accorde des subventions aux entreprises et aux particuliers pour encourager l’adoption des énergies renouvelables telles que l’énergie solaire, éolienne, hydraulique et géothermique. Ces subventions peuvent prendre la forme de réductions fiscales, de tarifs préférentiels d’achat d’électricité ou de programmes d’incitation financière.
Les subventions dans le domaine des énergies renouvelables ont donné lieu à un écosystème dynamique comprenant des fabricants de panneaux solaires, d’éoliennes et d’autres technologies liées aux énergies propres. De plus, de nombreuses startups et PME ont émergé pour proposer des solutions innovantes dans le domaine de l’énergie renouvelable
2. Transports propres :
Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur des transports, l’État soutient les véhicules électriques et hybrides en accordant des subventions à l’achat de ces véhicules, à l’installation de bornes de recharge et à la mise en place de réseaux de transport en commun plus écologiques.
Les subventions accordées aux véhicules électriques ont stimulé la création d’un écosystème de constructeurs automobiles spécialisés dans les voitures électriques, ainsi que de fabricants de batteries et de bornes de recharge. De plus, des entreprises de covoiturage, de partage de vélos et de scooters électriques ont vu le jour, contribuant à une mobilité plus durable.
3. Rénovation énergétique des bâtiments :
L’État encourage la rénovation énergétique des bâtiments en accordant des subventions aux propriétaires pour l’isolation thermique, le remplacement des systèmes de chauffage inefficaces, l’installation de panneaux solaires, etc. Ces mesures visent à réduire la consommation d’énergie et les émissions de carbone.
4. Agriculture durable :
Pour promouvoir les pratiques agricoles durables, l’État accorde des subventions aux agriculteurs qui adoptent des méthodes respectueuses de l’environnement, telles que l’agriculture biologique, l’agroforesterie et la préservation des zones humides. Ces subventions visent à encourager une production alimentaire plus respectueuse de la biodiversité et à préserver les écosystèmes.
Les subventions accordées à l’agriculture durable ont soutenu la création d’un écosystème agricole plus respectueux de l’environnement. Des entreprises se sont spécialisées dans la production et la distribution d’aliments biologiques, les techniques de culture régénérative, la gestion de l’eau et la biodiversité agricole. Des organisations à but non lucratif ont également émergé pour promouvoir et soutenir les pratiques agricoles durables.
5. Recherche et développement :
L’État soutient la recherche et le développement dans le domaine de l’écologie en accordant des subventions aux entreprises et aux institutions académiques. Ces subventions financent des projets visant à développer de nouvelles technologies et des innovations vertes, telles que des batteries plus performantes, des solutions de captage et de stockage du carbone, etc.
Les subventions destinées à la recherche et au développement ont favorisé la création d’écosystèmes technologiques dédiés à l’environnement. Ces écosystèmes comprennent des entreprises spécialisées dans le captage et le stockage du carbone, le traitement des eaux usées, la gestion des déchets, la surveillance environnementale, etc.
5. Conseil et services :
L’émergence de ces subventions a également conduit à la création d’un écosystème de conseil et de services environnementaux. Des entreprises spécialisées dans la consultation en matière de durabilité, l’efficacité énergétique des bâtiments, la certification environnementale, etc., offrent des services aux entreprises et aux particuliers souhaitant adopter des pratiques plus respectueuses de l’environnement.
Les gouvernements se donnent bonne conscience.
Ces exemples ne représentent qu’une partie des subventions écologiques accordées par l’État. Dans de nombreux pays, les gouvernements suivent les dictats de l’écologie sectaire. Ils se donnent bonne conscience en subventionnant la transition vers une économie plus verte et soutiennent activement les initiatives écologiques à travers des programmes de subventions. Ces mesures visent soi-disant à stimuler l’adoption de pratiques durables, à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à protéger l’environnement pour les générations futures, encore faut il que ses mesures servent à quelque chose.
L’humanité ne représentant que 0,01 % de la biomasse, il est présomptueux de croire que ces mesures aient un impact sur la vie de la planète Terre.
On nous dit que ces écosystèmes ont permis de stimuler l’innovation, de créer des emplois verts et de favoriser une transition vers une économie plus durable. C’est surtout la plus grande machine à laver les esprits et à détourner l’argent du contribuable pour enrichir les lobbys.