Les écologistes veulent terroriser les citoyens en leur faisant croire qu’ils vont mourir asphyxiés alors ils leurs imposent le fameuses ZFE – Zone à Faibles Emissions – des villes ou personne ne vivra plus. Il est sûr que si on interdit aux gens d’entrer dans les villes, il n’y aura plus de pollution. Les seuls habitants en seront les Rats, Ils ne savent pas lire, ils ne savent pas qu’on ne peut pas y aller.
Le SMOG
Le Smog a été baptisé comme cela à la fin du XIX ou au début du XX -ème siècle, on ne sait pas trop, mais il était présent bien avant avec la révolution industrielle du début de XIX -ème. Son nom : Le « smog » – est un néologisme qui date du début du XXe siècle, formé à partir des mots « smoke » (fumée) et « fog » (brouillard) – londonien est quant à lui très présent dans les romans de Dickens, qui parle spécifiquement de « pollutions ».
Dans Bleak House (1853), ce brouillard industriel est décrit avec une précision quasi scientifique, quant à sa coloration. Plutôt jaune à proximité de la capitale, du fait des émanations sulfuriques que dégage le chauffage domestique au charbon, il prend dans les faubourgs une couleur de plus en plus brune.
Arrivé au cœur de la cité, Dickens le qualifie de « rusty black », noir rouille. Propice à la mise en scène des crimes les plus horribles, comme ceux de Jack l’Éventreur qui semèrent la panique parmi les Londoniens à la fin des années 1880, le smog est aussi cause de mortalité.
Durant la Première Guerre mondiale, nombreux ont été les Londoniens à rentrer chez eux, en plein jour et en file indienne, s’accrochant les uns aux autres. Ils parcouraient ainsi les rues de la ville, nimbée d’un smog si épais qu’ils ne distinguaient plus rien, guidés par des personnes qui connaissaient le parcours les yeux fermés et les escortaient chacun leur tour jusqu’à leur domicile.
Les derniers effets du smog
Le dernier épisode de smog date de la fin de l’année 1952. Entre le 5 et le 9 décembre, la capitale britannique fut complètement noyée dans un brouillard à couper au couteau. Au troisième jour, la visibilité était quasi nulle et l’air devenu irrespirable. Entre 4 000 et 12 000 personnes, selon les sources, auraient perdu la vie des suites de ce dramatique évènement.
Vous voyez qu’il y avait beaucoup plus grave que la situation actuelle.
Le village le plus pollué d’Europe
Dans une région reculée de Roumanie, À Copsa Mica (5 000 habitants) dans la vallée de la Tarnava en Transylvanie, région de Roumanie – pays hautement contaminé –, l’industrie chimique a connu une très forte activité sous Nicolas Ceausescu pendant la période communiste. Surnommé, à l’époque, le « village noir », il était considéré comme l’un des lieux les plus pollués d’Europe. Les usines abandonnées dominent encore aujourd’hui la petite cité dont le sous-sol regorge de métaux lourds tels que le cadmium, ou le dioxyde de soufre.
Dans les villages allemands de cette partie de la Transylvanie, placés depuis le XIIe siècle sous la protection de leurs imposantes églises fortifiées, non loin de Copsa Mica, on tente de tourner la page de la pollution sans limites. Depuis la chute du régime communiste, l’objectif est de repasser « au vert », afin d’attirer les touristes, et de permettre à la population de vivre sur une terre saine.
Mais encore aujourd’hui, trente ans après la fermeture des entreprises polluantes, la production agricole de ces lieux, tout comme l’eau des environs, demeurent impropres à la consommation.
La pollution est présente partout
Partout où elle a eu lieu, quels que soient la période et le régime, l’industrialisation à marche forcée s’est d’abord installée aux abords des villes ou dans les campagnes. Dans un premier temps, le vert et le noir coexistent, avant que la pollution ne dévore le vert et finisse par ravager villes et campagnes en empoisonnant durablement leurs sols. Si la prise de conscience vis-à-vis de la pollution industrielle a été relativement tardive, elle n’en reste pas moins un phénomène aussi ancien que l’industrie elle-même.
La pollution fait partie intégrante de l’humanité, vouloir vivre sans, revient à dire que c’est la vie humaine qu’il faut remettre en cause.