06 20 83 31 01 Ockam@outlook.fr

Comment sortir de la délinquance

Nous sommes la risée des pays amis

Outre le laxisme du Gouvernement, surtout depuis François Hollande, qui préfère plaindre es délinquants que de soutenir sa police. On a pu constater les dégâts e la déclaration irrationnelle d’Elizabeth Borne sans savoir exactement ce qui c’était passé. Non pas un simple contrôle routier mais une course poursuite.

Vous y ajoutez l’interdiction faite à la Police de résister aux manifestants par crainte de voir de nouveaux blessés ou des morts. A quoi sert d’augmenter les effectifs si on leur lie les mains.

Sans parler du Système judiciaire. Des Juges rouge cramoisi, plus à gauche que l’extrême gauche qui relâchent les délinquants pour qu’ils puissent récidiver. Puisque la récidive n’existe plus, la France étant un des rares pays ou la récidive n’est pas sanctionnées.

Le manque de place de prison est une mauvaise excuse, Un tiers des places sont occupées par des étrangers qui devraient rentrer chez eux. De même pour délinquants en cols blancs dont la détention est souvent plus politique qu’autre chose (ex Balkany).  Mieux vaut raccourcir les fins de peines plutôt que de ne pas faire enter les petites peines, ce qui équivaut à pas de sanction du tout. Il faut inventer de nouvelles peines.

Comment sortir de la délinquance

Après avoir vécu les évènements de 2005, Nicolas Sarkozy avait mis en place des peines plancher que François Hollande c’est empressé de supprimer.

Certains considèrent qu’elles entrent en conflit avec le principe de l’individualisation des peines. C’est une manière de voir les choses car on dit bien « à travail égal, salaire égal » on peut donc considérer qu’a délits égal, peine égale. Pour quoi l’individualisation des peine serait-elle plus vertueuse ? C’est une vue de l’esprit que les mentalités des soi-disant Humanistes pour qui tout le monde est beau tout le monde est gentil sauf ceux qui ne pensent pas comme eux. Et rien ceux qui sanctionnent sont des « gros méchants ».

Aujourd’hui, la récidive devrait constituer « l’un des éléments d’appréciation de la personnalité » dont le juge devrait tenir compte.
Si on peut pardonner une faute, on ne doit pas pardonner ceux qui récidivent en permanence. Comment peut-on avoir 15 inscriptions au casier judicaire sans avoir de peines et vivre tranquillement en liberté en attendant la prochaine infraction que l’on pourra faire sans impunité.

Et comment fait-on ailleurs ?

 Inspiré du modèle américain, le dispositif des peines planchers pour les délinquants multirécidivistes a déjà fait des émules dans plusieurs pays européens.

Les pays anglo-saxons ont été les premiers à adopter le système. Certains pays d’Europe du Nord comme au Sud préférant faire de la récidive une circonstance aggravante.

Parmi ceux-ci figurent notamment l’Angleterre et le pays de Galles, comme le signale un rapport du Sénat datant de septembre 2006. Après un premier texte, abrogé en 2003, instituait une peine obligatoire d’emprisonnement à perpétuité pour les récidivistes auteurs de certaines infractions violentes graves.

Depuis, les juges d’outre-Manche ne sont contraints d’opter pour des peines minimales obligatoires que dans trois cas, dont deux concernent les multirécidivistes : sept ans de prison minimum à partir de la deuxième récidive dans le cadre d’infractions liées aux trafics de stupéfiants les plus graves et trois ans au moins pour l’auteur d’un troisième vol avec effraction.

L’Italie, l’Espagne, les Pays Bas, l’Allemagne ont leur propre système, plus ou moins sévère, mais ils tiennent en compte la récidive.

La France est un des rares pays à l’avoir supprimé de son arsenal judiciaire. Ajoutez à cela des juges plus que laxiste qui font de leur ligne de conduite la politique de l’excuse permanente. Souvenez-vous de la chansons de Pierre Vassiliu : l’était un pov’ gars qui s’appelait Armand, l’avait pas de Papa, l’avait pas de Maman …

Que devrait-on faire ?

  • Tout d’abord, et c’est simple, rapide et ne nécessitant pas de budget, que le Gouvernement soutienne OFFICIELLEMENT sa Police. Et ne lui interdise plus de riposter.
  • Ensuite, rétablir rapidement les peines plancher pour les récidivistes. Dans le climat actuel, ça pourrait être fait en séance extraordinaires sous 12 jours.
  • Etudier un système de responsabilisation et pourquoi pas de pénalisation des juges qui relâchent trop facilement les délinquants. Ils devraient être tenus pour responsables des récidives.
  • Inventer de nouvelles sanctions, surtout pour les jeunes délinquants ou la prison n’est pas la meilleure solution. Pourquoi pas leur sonner le choix entre une peine de prison et un engagement dans l’armée ?

Submit a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Chat Icon